Se mettre en train. Commencer une activité. Se lever le matin. "c'est le moment de s'abader.
jeune fille que l'on courtise.
Au temps de la lampe à pétrole : descendre la mèche. Baisse la lampe, tu vois bien que la flamme monte dans le tube.
Bleu, marque restant sur lapeau aprés avoir été pincée. Poire qui blettit.
Rempli de trous, s'applique aux arbres et aux rochers.
S'emploie à la place de certainement. Ou dans le sens interrogatif pour : c'est bien vrai ?
Se passer surcomposé est employé pour dire : on a vu autrefois... ou on a connu autrefois...
Se dit d'un homme mou, indécis, qui se plaint pour un rien, qui craint tout. Ne s'emploie qu'au masculin.
Fermer par un étai. Autrefois, les maisons n'avaient pas de serrues aux portes, elles étaient fermées par une cale en bois :une cote. D'où l'expression encore utilisée : Cote la porte pour fermer la porte. On dit aussi tourne la clé. Soutenir avec un étai, étayer :Coter les pruniers.
Culbute, pirouette : les enfants se sont amusés à faire des cupesses dans le champ.
Tu es bien d'heure ce matin.
Employé à la place d'épandre.
Flambée de bois dans la cheminée ou le fourneau : il ne fait pas chaud ce soir, une petite foyée ferait du bien.
L'auriculaire, ou "petit doigt".
Hésiter
Je crois que. Je me propose de faire telle chose.
Faire du bruit, des extravagances. Tâchez de ne pas faire les Jacques.
Organe de la parole. Ça lui a coupé le jappe.
Personne très bavarde. Elle a une bonne jarrique.
Faire tire la langue. Faire attendre. Laisser espérer.
Être ensemble durant quelques heures : le dimanche, nous avons l'habitude d'aller chez mon frère passé un moment.
Traîner quelque chose par terre : Arrête de racler les pieds par terre, tu abîmes tes souliers.
Premier labour de la vigne.
Petite surface de terrain ensemencée ou plantée en légumes : j'ai semé une table de carottes. J'ai planté une table de choux.
Grotte verticale.
Parabolic carving, couper les virages en remontant la pente.
Bail perpétuel ou très long. Contrat par lequel le bailleur cède un bien à l'abergataire ou le preneur, moyennant une redevance annuelle.
Est souvent employé à la place de "bonjour" ou "au revoir" entre des personnes qui se connaissent très bien.
Cor au pied. "Le temps veut changer : je sens mon agacin".
C'est conduire le bétail au pâturage.
Amasser ou ramasser se disent pour nettoyer ou racler le fond d'une marmitte ou d'une assiette : Allez, les enfants, amassez bien vos assiettes.
Personne obstinée.
Aplan ou Alpanée, façon de tomber horizontalement : J'ai piqué une de ces aplanées.
"Au revoir". Expression patoise, pour prendre congé. Elle a eu beaucoup de succés, auprès des gens venus habiter la Savoie, et qui l'emploient comme un signe d'appartenance locale. Elle est souvent soulignée par l'explétif "pas". "Arvi pas".
Grotte horizontale.
Sac qu'un semeur porte en bandoulière quand il sème. En batiule, bras en écharpe.
Niais, un homme un peu simplet, borné.
Fatigué, cerné en parlant des yeux. Altération de la santé chez une personne âgée : "oh, comme il s'est cassé depuis l'an passé.
Faire des manières ridicule : arrête de faire des gôgnes, et sers toi.
Courrir, vagabonder : Où as tu encore été coriater ? Etre poursuivi : On m'a coriaté après.
Bouillir, l'eau cuit, maman.
Décoiffé, dirigé dans tous les sens : ses cheveux étaient tout écharbotés.
S'étirer, étendre les bras en baillant.
Femme de mauvaise vie.
Agiter un liquide, avec les mains ou un ustensile.
Douanier. Surtout employé en Savoie du Nord, au temps de la Grande Zone franche (1860-1923). Tend à être remplacé par le français "gabelou".
Faire des manières, des embarras.
Grognon, grincheux. je me suis engringé, quand j'ai su cette affaire...
Chopine de vin. (Basse-Savoie).
Au sens large de vêtements. Sa femme ne prend pas bien soin de son linge.
Neige poudreuse.
Le temps va se mouiller : il va pleuvoir.
Bruit, vacarme, tapage, agitation : vous en avez fait un trafi cette nuit. Le mot trafic, en français, n'a pas cette signification.
Est souvent utilisé pour le pronom personnel "le" : Tu y verras bien. J'y dirai à mon frère.
Triple salto, une vrille au premier tour, deux vrilles au deuxième, une vrille qu troisième. Un ballet aérien particulièrement spectaculaire dû au rythme saccadé de ce saut.
Premier tour avec une vrille. Deuxième tour, salto arrière groupé.
Triple salto avec une demi-vrille dans le premier tour, une vrille et demie dans le deuxieme, une vrille dans le troisième.
Le maître mot des bosseurs ! le but du jeu consiste à maintenir le plus longtemps possible le contact ski neige. Le coureur s'emploie en outre à limiter les mouvements du haut du corps.
Farie la tortue, réception mal gérée sur le dos.
Premier tour tendu, les deux autres tours groupés.
Un des mots favoris des entrîneurs de saut ! Désigne la position où le corp est le plus tendu possible.
Les spécialistes vous diraient avec un grand sourire que c'est la combinaison d'un "spread" et d'un "Zudnik" ! plaisenterie mise à part, ce saut s'exécute jambes tendues et écartées de chaque côté du corps. Le haut du corps est fléchi à 90° à la taille. Les pointes des pieds sont relevées.
le best seller des sauts de bosses, une figure qui a des heures de vol mais qui fait toujours son effet.
Premier tour avec deux vrilles. Deuxième avec une vrille, troisième avec une vrille.
Triple salto avec une vrille à chaque tour.
Deux vrilles et demie en avant.
Les jambes pliées sont ramenées contre la poitrine, les mains étant placées sur les genoux.
Les skis sont amenés à un angle de 90° en travers, vue de face.